Une convention de revitalisation s’impose aux entreprises de plus de 1 000 salariés qui procèdent à des licenciements collectifs. Cette convention prévoit le versement d’une contribution financière destinée à soutenir l’activité économique du bassin d’emploi touché par ces licenciements, en apportant des financements au développement des entreprises du bassin d’emploi mis en difficulté. La convention prévoit généralement certaines actions destinées à accompagner la création d’emplois dans les entreprises du même secteur, parmi lesquelles : Un fonds de subvention, Des fonds de prêt consacrés respectivement aux start-up/TPE et aux PME/ETI, Un fonds de prêt participatif, Un fonds d’expertise destiné à accompagner les TPE/PME de la filière dans la structuration de leur croissance autour de deux objectifs principaux : renforcer l’expertise des dirigeants et accélérer le développement des entreprises, Le financement d’actions de structuration de la filière. Sur ce dernier point, les projets susceptibles d’être accompagnés dans ce cadre sont notamment les suivants : Actions visant à favoriser le développement d’une offre de formation continue en adéquation avec les besoins des entreprises tant dans ses contenus que dans ses formats et modalités. Permettre aux décideurs de la filière métier d’anticiper et dessiner les contours de nouvelles organisations, Projets portés par des structures d’incubation ou d’accélération, Actions collectives destinées à renforcer la compétitivité des entreprises sur une thématique donnée (transition numérique, performance logistique, etc.).
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